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Le massif de Bugarach (classé ZNIEFF type I), le plateau de Malabrac et le roc de Paradet (classés ZPS et proposés pour faire partie du réseau Natura 2000) sont reconnus pour abriter les espèces d'oiseaux suivantes (parmis d'autres) :
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| Retour sommaire | Dernière mise a jour : 18/06/2004 |
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Le massif de Bugarach est classé ZNIEFF type I La forêt des Fanges est classée Znieff type II Le plateau de Malabrac a été proposé pour faire partie du réseau Natura 2000 et classé ZPS depuis 11/1998 (proposition transmis à la Commission européenne le 25/05/2003).
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| Pouvons nous accepter que les crêtes autour de ce massif et des deux départements concernés (11 et 66) se transforment en autant d'îlots d'éoliennes dispersées dans l'environnement ? Départements où plus aucune crête, aucun point de vue sera exempt de pylônes de 80 à 120 m de hauteur, soit l'équivalent d'un immeuble de 40 étages (actuellement il y a près de 200 projets d'installation d'éoliennes dans l'Aude !). |
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Non seulement les éoliennes vont dégrader nos paysages, mais aucune centrale nucléaire fermera grâce aux éoliennes, au contraire la France se lance dans une nouvelle génération de réacteurs ! |
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Les éoliennes et les feux de forêts
Les éoliennes empêchent les Canadairs de combattre éfficacement un feu de forêt éventuel. En éffet les larguages aériens, pour être éfficaces, doivent se faire à partir d'une hauteur comprise entre 30 et 50 m et face au vent. Les éoliennes installées en ligne perpendiculairement au vents dominants empêchent les avions Canadair de voler dans un rayon pouvant être de 5 à 10 fois la hauteur des pylônes suivant la configuration des lieux.
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Le massif de Bugarach (classé ZNIEFF type I), le plateau de Malabrac et le roc de Paradet (classés ZPS et proposés pour faire partie du réseau Natura 2000) sont reconnus pour abriter les espèces d'oiseaux suivantes (parmis d'autres) :
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Si l'idée de l'énergie propre est de diminuer notre pression sur l'environnement il peut paraître louable de penser qu'il suffit de mettre des éoliennes partout mais en fait on ne fait pas pire en matière d'impact sur l'environnement.
Conséquence inattendu des éoliennes et de l'augmentation du prix de l'électricité qui en découle : Augmentation ou au mieux maintient du trafic des camions de fort tonnage sur les routes et autoroutes et par conséquent augmentation de la pollution dû à ce traffic routier. En effet l'augmentation du prix de l'électricité va anéantir les éfforts de la SNCF qui tente de mettre en place un outil de ferroutage (transport route-rail) compétitif par rapport au transport tout-routier. |
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Les bulldozers
entreront en action pour créer une route d'accès au plateau de Malabrac et au
Roc de Paradet, pour
le raccordement au réseau EDF on creusera une "balafre" de plusieurs
kilomètres dans le paysage afin d'y enterrer une ligne électrique.
Le projet de ligne Très Haute Tension (THT) à travers la vallée du Louron ou l'Ariège à été abandonnée, le projet refait surface à travers le Roussillon entre Baixas (P.O.) et Bescano (Catalogne). Une 400 000 volts pour évacuer l'électricité éolienne racheté à prix d'or en France à des opérateurs privés et revendue une bouchée de pain à l'Espagne. Voila à quoi servent nos impôts : à enrichir des compagnies privés qui en plus ont des actionnaires et des capitaux étrangers ! On est loin du développement durable qui préconise de produire et de consommer l'énergie sur place.
A ce titre il semble plus logique (si on admet l'idée qu'il faut non pas économiser l'énergie mais créer des nouveaux modes de production) d'installer la source de production électrique près des centres de consommation importants, notamment dans les zones industrielles.
Pour conclure une citation de Jean-Marc Jancovici dont le site internet mérite le détour.
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< Le programme Eole 2005, qui prévoit 500 MW de puissance installée en 2005, soit 250 à 500 éoliennes de grande taille, permettra ainsi à la France de produire 1 TWh dans les meilleures conditions, soit 2,5% de la production électrique à base de combustibles fossiles, 0,25% de la consommation d'électricité Française, ou encore moins de 0,1% de notre consommation d'énergie totale. Faut-il passer des années à se focaliser sur 0,1%, quand, dans le même temps , un programme un peu sérieux d'économies pourrait facilement faire baisser la consommation de 10%, c'est à dire 100 fois plus, en attendant de diviser notre consommation par 2 à 3, seule condition pour envisager la "durabilité" autrement que dans les discours ? >
(extrait de http://www.manicore.com)
Voir aussi la page : Paradet
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